Nos émissions de gaz à effet de serre

Nous menons l’enquête pour comprendre pourquoi il est compliqué d’adopter des comportements durables: la première chose à faire c’est évidemment d’expérimenter nous-même et de tirer des conclusions!

Ce qui cause le réchauffement climatique, ce sont les émissions de gaz à effet de serre d’origine anthropique. Si on réduit suffisamment ces émissions, on peut limiter la hausse de la température moyenne de la terre.

0
kg CO2eq / jour / pers
0
kg CO2eq / jour / pers

C’est ce que l’on a émis depuis le début de l’expédition par jour en moyenne

C’est la quantité maximale qu’on aimerait ne pas dépasser

Quelques ordres de grandeurs

0
tonnes CO2eq / an / pers

C’est la quantité de gaz à effet de serre qu’émet un français moyen. On y retrouve les émissions liées à nos déplacements, notre alimentation, nos consommations énergétiques liées à la construction et l’utilisation de notre logement et de tout ce que l’on achète, et la part liée aux services publics.

0
tonnes CO2eq / an / pers

C’est la quantité de gaz à effet de serre qu’il faudrait émettre pour s’assurer un espace de développement sûr et juste. Si on ramène ce chiffre à la journée, cela nous laisse une enveloppe d’environ 5,5 kg CO2eq/jour/pers.

Notre objectif

On se donne pour objectif de dégager ni plus ni moins que 2 tonnes CO2eq/an/pers sur toute la durée de l’expédition! C’est à dire environ 5,5 kg CO2eq/jour/pers.

Comment on fait? En utilisant les principes de la méthodologie bilan carbone et avec des hypothèses adaptées à notre mode de vie, on comptabilise toutes nos émissions de gaz à effet de serre.

Vous pouvez retrouver sur cette page l’ensemble des hypothèses, sources et methodes de calcul de nos émissions.

Nos résultats

0
tonnes CO2eq
0
tonnes CO2eq / an / pers
0
kg CO2eq / jour / pers

Emissions totales depuis le début de l’expédition

Emissions rapportées sur un an

Emissions moyennes journalières

Quelques remarques:

 – on ne compte pas les émissions liées à la dépense publique. L’objectif ici est de voir à quel point on peut réduire les émissions qui dépendent directement de nous (cf hypothèses de calcul).

– on risque de ne pas y arriver. C’est pas grave, on pourra quand même tirer des conclusions.

– on vit décemment. On mange (plus) qu’à notre faim, on a une vie sociale, on s’offre des biens et services (en toute sobriété bien entendu), on est en bonne santé. L’idée est de montrer qu’une vie bas carbone est possible mais surtout désirable. On vous propose de suivre notre expédition sur nos différents réseaux pour vous convaincre que tout va bien et qu’on ne vit pas comme des hommes préhistoriques.